« Il est bien vrai que nous devons penser au bonheur d'autrui ; Mais on ne dit pas assez que ce que nous pouvons faire de mieux pour ceux qui nous aiment, c'est encore d'être heureux. »
« On n'empêche pas un petit coeur d'aimer »
" N'avez-vous jamais regardé une photo de vous et vu un étranger à l'arrière plan ? Ça vous fait vous demander combien d'étrangers ont des photos de vous. Combien de moments de la vie d'autre personnes avons-nous partagés ? Faisions-nous partie de la vie de quelqu'un quand ses rêves se sont réalisés ? Ou étions-nous là quand ses rêves se sont éteints ?Réfléchissez-y. Vous pourriez être une grande partie de la vie de quelqu'un et ne même pas le savoir. "
Chut ! On ne criitiique chez les autres Que ce qu' On a pas chez sOiit ! Chut ! Sii c'est pOur diire des chOses Que je saiis déjà ! Chut ! Sii c'est pOur me trOuver des Défauts que je cOnnaiis avant tOii !
Parce que j'ai des yeux bleues magnifiques ? Parce que j'ai un s0urir qui les fait t0us t0mber ? Parce que j'ai pas le même style que t0i ? Parce que j'0se être différente ? Parce que je peux manger ce que je veux et je prends jamais un gramme ? Parce que j'ai des amis et que je p0urrais t0uj0urs c0mpter sur eux ? Parce que je suis prétensieuse ? Parce que je n'en ai rien à faire des rageux ? Parce que je suis parfaite ? Parce que je suis m0i ? Parce que je m'aime ? Parce qu'0n m'aime ? Parce que tu n'as rien de t0us ça ? Ne sOiit pas jalOuse de ce que tu n'aiis pas.
Je suis sur un lit d'hôpital, le docteur dit que c'est une opération très difficile et je ne pourrai peut-être pas la faire. Il me faut un nouveau coeur...j'ai besoin de soutien mais ma copine n'est toujours pas arrivée.
*Cher journal*
L'opération est finie, les docteurs disent que tout s'est bien passé...mais j'ai besoin de soutien et elle n'est toujours pas arrivée.
*Cher journal*
Une semaine est passée, je suis sorti de l'hopital, je vais bien mais ma copine n'est toujours pas venue, a présent je vais aller chez elle, ça me préoccupe beaucoup.
*Cher journal*
Je suis allée chez elle, j'ai frappé longuement, mais il n'y avait personne. Je suis entrée, la porte était ouverte, et sur la table il y avait un mot qui disait:
Mon amour, pardonne moi de ne pas t'avoir apporté le soutien dont tu avais besoin, j'ai voulu te faire un cadeau, mon coeur ne bat plus en moi mais je suis heureuse de te l'avoir donné à toi, il continue de vivre à travers toi ... je t'aime...