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Le blog de Fairytini - page 2


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HS 3 : Letters


Partie 3
« A la femme de ma vie, ma moitié, ma bien-aimée, mon cœur, mon amour,
     Hey… Six ans. Cela fait six ans que tu es partie, et je n’arrive pas à penser à une autre personne que toi. Je ne dors plus. Je ne dors plus si je ne sens pas ton odeur. Alors je ne dors plus dans ma chambre, mais dans la tienne. Je m’allonge dans ton lit, je prends un de tes vêtements préférés, et je m’endors en respirant ton odeur.
     J’ai l’impression d’être avec toi, comme ça. J’ai l’impression que tu es à côté de moi.
     Je sais que tu nous regardes depuis là-haut. Je sais que tu n’aimerais pas que l’on soit comme ça.
     Mais comment te dire que c’est difficile, pour nous ?
     Il y a six ans, tu es partie à Paris, en France. Il y a six ans, tu es partie là-bas pour ton travail. Jusqu’à ce qu’on nous annonce ta disparition. Ta mort.
     Comment voulais-tu que je réagisse, après ? Tu es mon cœur, ma moitié, mon amour. Je t’aime tellement !
     Tu es partie pour ton travail, nous promettant de revenir quand tout serait fini. Mais rien n’a été fini. Parce que tu es partie trop tôt, et au mauvais endroit.
     Mais je sais que là où tu es, maintenant, tu es dans un monde heureux, où le bonheur est permanent.
     Mais tu me manques. Je veux juste que tu reviennes. Pour te voir. Te voir parler, danser, chanter. Te voir rire, te voir sourire. Entendre ta voix. T’entendre chanter. Je veux que tu reviennes, parce que tout ça me manque. Parce que te serrer dans mes bras me manque. Parce que t’embrasser me manque. Parce que tu me manques. Parce que notre enfant me manque.
     Et oui, tu étais enceinte… Tu avais prévu quelques mois de tournage en France, puis te reviendrais pour accoucher et élever notre enfant ici, en Argentine, à Buenos Aires.
     Mais ce n’est plus possible. Parce que tu es partie. Parce que vous êtes partis.
     Ma dernière lettre date de deux heures, et pourtant, j’ai encore envie d’écrire. Pour ne rien dire. Pour te dire quel temps il fait. Pour te dire ce qui se passe.
     Dans deux heures, je t’écrirais à nouveau.
                                                                                                               I love you forever,
                                                                                                               Jorge »


__________________________________
Aloha !
Voici la troisième partie du HS !
Comment le trouvez-vous ?
J'ai eu du mal à le faire long, mon but était de montrer à travers la longueur - et les mots - à quel point "Quolqué" tenait à Tini.
Saluuuut ! =3


Posté le 29.04.2015 à 16:36 - nombre de commentaires : 8  Nombre de vues : 550

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  HS 3 : Letters  


Partie 2
« Ma chère petite sœur,
     Quatre ans. Quatre ans que tu as disparu de la surface de la terre. Et oui ! Cela fait quatre ans que nous vivons tous dans le noir. Nous sommes toujours en deuil, et nous ne pourrons jamais t’oublier.
     Notre vie a repris leur cours normal. Ou presque.
     A présent, tu n’es plus là pour rire, pour nous saluer le matin. Plus là pour nous réprimander faussement. Plus là pour discuter, plus là pour chanter. Tu n’es plus là, tout simplement.
     Et pourtant, chaque jour, nous croyons te voir, là, dans ta chambre. Hélas, notre villa est vide, sans toi.
     Je ne peux pas te dire à quel point tu nous manque. Parce qu’il n’y a pas de mots pour le dire.
     Chaque fois que je me lève, je me rends dans ta chambre. Où Jorge y est déjà. Je prends un de tes habits ou un de tes parfums, juste pour respirer ton odeur. Parce que tu me manques. Parce que te serrer dans mes bras me manque.
     Et pourtant, chaque fois, j’espère que tu débarques dans ta chambre, nous cirant dessus pour que nous sortions. Mais mes espoirs sont en vain.
     Il y a tant de choses que je voulais te dire. Que je veux te dire. Mais ma dernière lettre remonte à ce matin. J’ai vidé tout mon sac, et pourtant je veux encore écrire. Juste pour me sentir auprès de toi.
     Je ne sais plus quoi dire, à part te répéter trois mille fois « Tu me manques ».
                                                                                         Tu me manques.
                                                                                         Facundo »


_______________________
Hellooooow !
Voici la seconde partie de ce troisième HS.
Nous avons un Facundo bien en manque de l'odeur de cette personne morte ! ='3
Bref. Il reste encore quatre partie, avec deux parties narration.
D'ailleurs, j'ai une question à vous poser :
Comment va se terminer le HS ?
Vous n'aurez qu'à voter ! =3
Saluut ! 
❤️



HS 3 : Letters



Comment va se terminer le HS ?



Posté le 26.04.2015 à 16:45 - nombre de commentaires : 5  Nombre de vues : 494

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HS 3 : Letters


Partie 1
« Ma très chère meilleure amie,
     Hello ! Deux ans. Deux ans que tu es partie. Lorsqu’on a appris que tu as disparu, que tu es morte, tu n’imagines pas la crise que j’ai eue. Ou peut-être si. Tu nous manques… Tu me manques…
     J’entends encore les cris et les pleurs des autres filles, et les regards sombres et tristes des garçons.
     On avait tant à partager ! Pourquoi es-tu partie ?
     J’aurais tant voulu te dire ce que j’avais sur le cœur. J’avais tant de choses à te dire ! Je ne peux le faire que par lettre, maintenant.
     Je t’en supplie, reviens ! Tu me manques tellement… je ne sais plus quoi dire, tout d’un coup…
     J’aurais voulu te raconter ce qui s’est passé entre Rugge et moi, les gestes de Jorge, les réactions de Damien, ce que sont devenues les filles, ce que font les garçons.
     Hélas, j’ai déjà vidé tout mon sac dans la dernière lettre, et j’écris pour passer le temps. Pour te dire que tu me manques.
     Chaque jour, j’écris et je poste. A ton ancienne adresse, à Paris en France. Je sais parfaitement que tu n’es plus là. Ta famille nous l’a dit.
     Tu nous manques tellement… Me manques tellement…
                                                                                                                       Je t’aime à la folie,
                                                                                                                       Mercedes »


_______________________________
Ohayoooo !
Voici donc un tout nouveau HS !
Tout comme mon premier HS, le titre est "Letters".
Mais, cela ne se finit pas de la même façon ! (et y a pas le même nombre de partie, en passant.)
J'espère que ça vous a plu !
A pluus ! ;)


HS 3 : Letters


Posté le 25.04.2015 à 15:34 - nombre de commentaires : 6  Nombre de vues : 581

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OS 5


OS Violetta : Smile !
Smile.
Pfff… Facile à dire !
Comment ?
Comment faire ?
Comment sourire ?
Comment faire pour sourire ?
Alors que j’ai tout perdu… tout…
Tout ça à cause d’elle…

¤Flash back¤
J’arrivais devant le Studio, un sourire aux lèvres. Dans un mois, il y a le spectacle de fin d’année… qu’est-ce que j’ai hâte !
Mais, alors que j’entrais, mon sourire s’effaça lorsque je vis Camila et Francesca… qui m’attendaient pied ferme un regard noir et haineux.
Je fronçais les sourcils.
- VIOLETTA ! hurla l’italienne.
- Euh… oui, Francesca ?
- On t’attend dans la salle principale, grinça Camila.
Je retins mes larmes. Qu’est-ce qui se passe ??!
Je n’osais pas répliquer, et me contentais de suivre les deux filles. Lorsque je pénétrais dans la pièce, ce qui me frappa était le regard noir de… ma famille, de mes amis et de mes professeurs. Et le grand sourire de Léa, une nouvelle arrivée il y a trois mois.
Mais qu’est-ce qui se passe, bon sang ??!
- Violetta, dit Pablo d’une voix calme.
Trop calme.
- O-Oui ?
- Peut-on savoir qu’est-ce cette vidéo ?
- J-Je-
León, s’approcha de moi, l’ordi de Maxi dans ses mains. Il mit en marche une vidéo et je la regardais, horrifiée :
*Début de la vidéo*
Violetta regardait autour d’elle, dans le hall du Studio.
- Pfff… Le Studio n’est qu’un endroit de merde. Les profs sont tellement stupides… Et mes amis ! Qui ne sont même pas mes amis ! s’exclama-t-elle. Ils sont trop bêtes… ils croient depuis trois ans que je suis amies avec eux ! Pathétique… Quant à ma famille, n’en parlons pas ! Mon père n’est qu’un c*nnard, Angie l’usurpatrice de la place que devait tenir ma mère… Ah, et puis, León ! N’en parlons pas ! Il croit que je l’aime… Pfff… comment je pourrais tomber amoureuse d’un imbécile pareil ! Je devrais le laisser à Léa… Après tout, je suis trop belle et trop importante pour traîner avec des gens comme eux !
Violetta s’en va.
*Fin de la vidéo*
- Quoi ? Mais-Mais non ! J-Je n’ai jamais dit ça !
- Pourtant, cette vidéo est une preuve ! ragea Francesca.
- Comment peux-tu dire ça ! s’écria Camila au bord des larmes.
Des larmes coulèrent sur mes joues, mais personne ne s’en souciait, pas même mes frères ou mon père.
- M-Mais je-
- Violetta, je n’arrive pas à croire que tu aies pu dire ça. Tu es bannie de la famille, déclara mon père – qui ne l’était plus.
- Et du Studio, ajouta Gregorio.
Je tournais les talons et m’enfuie du Studio, les larmes coulant sur mes joues.
¤Flash back¤


Léa. Il n’y a qu’elle pour faire ça. Elle a toujours été jalouse de moi. Je n’arrive pas à croire qu’elle ait pu faire ça. Truquer ma vidéo ! Enfin, recopier la mienne en se faisant passer par moi.
Cela faisait deux mois que j’étais enfermée dans ma chambre. A part Olga et Ramaillo, personne ne se souciait de moi.
Aujourd’hui, c’est le jour du spectacle. Tout le monde s’éclate sur scène… sauf moi. Et je compte bien réserver une surprise à tout le monde.
Je me levais en tremblant. Je n’avais pas mangé depuis une semaine, me contentant d’eau. Il n’y a personne, à la maison. Olga et Ramaillo ont été traînés au spectacle. Je rangeai ce que je tenais dans la main dans la poche de mon jean. Je pris une grande enveloppe marron, une photo et sortis de ma chambre. Je descendis. Je pris mes clés et déverrouillais la porte. Je la refermais et partis en direction du Studio, mon téléphone à la main.
Mes avant-bras me brûlaient. Pas autant que la douleur en moi, ceci dit. Oui, vous l’avez compris, je me mutile. Ce n’est pas une issue, me direz-vous ?
Mais vous, quez feriez-vous si vous aviez été abandonnées, comme moi, par toutes les personnes à qui vous tenez ?

J’arrivais rapidement au Studio. Tout était désert ; tout le monde était parti voir le spectacle. Je croisais un policier. Je lui souris, il me répondit. J’attendis qu’il parte avant de m’adosser contre la porte fermée du Studio. Je me laissais glisser, alors que tous les souvenirs que j’avais repassaient devant mes yeux.
Je me retrouvais assise. Je sortis alors la lame que j’avais glissée dans ma poche un peu plutôt. Mes larmes coulaient sans s’arrêter. Je n’arrivais pas à le faire, pourtant, il fallait que je le fasse. Je plaçais la lame sur mon poignet gauche et l’enfonçais, tout en le faisant glisser. Je serrais les dents de douleurs. Je fis la même chose sur l’autre poignet. Puis, je lassais tomber la lame, m’engourdissant de plus en plus.
En passant, j’avais tâché l’enveloppe et la photo. Un visage apparut devant moi ; c’était le policier de tout à l’heure. Il avait donc tout vu…
- Mademoiselle !
- D-Dîtes à-à ma f-famille e-et à-à m-mes a-amis q-que j-je l-les a-aimerai t-toujours- je suffoquais, la bouche pleine de sang. E-Et d-dîtes à-à L-León q-que j-je l-l’ai a-aimé, q-que j-je l-l’aime e-et q-que j-je l-l’aimera t-toujours…
Je fermais les paupières, fatiguée.
J’entendis au loin la sirène de l’ambulance. Trop tard… je me sentis plonger dans les ténèbres.
Puis, ce fut le trou noir. A jamais.
Smile.
*

Le spectacle fut interrompu. Tout le monde était réuni dans un petit salon. Pablo était au téléphone.
- Oui… oui… QUOI ??! Oui, nous arrivons tout de suite !
Puis, il raccrocha.
- Qu’est-ce qui se passe, Pablo ?
- Je ne sais pas… ils disent qu’ils ont retrouvés une jeune fille morte devant le Studio. Apparemment, elle avait décidé de mettre fin à sa vie… Il y a un policier témoin. Il faut qu’on y aille, elle nous connaissait.
- Serait-ce Violetta ? demanda Maxi, tout d’un coup inquiet.
Il n’a jamais cru à la vidéo.
- Il semblerait que oui.
- Je ne veux pas la voir, déclara sèchement Francesca.
- Nous non plus, dirent les autres.
Olga, Ramaillo et German, également là, dirent :
- Allons-voir quand même.

Ils arrivèrent au Studio. Ils descendirent. Les ambulanciers s’affairaient autour d’un corps près des portes du Studio. Ces cheveux… ils les connaissaient !
- VIOLETTAAAAA ! s’écrièrent Francesca et Camila en chœur, les larmes aux yeux.
Un policier s’approcha de tout le monde.
- Bonjour, dit-il en s’approchant.
Au loin, le corps de la pauvre Violetta fut posé sur un brancard. Une couverture grise fut rabatute sur elle.
- B-Bonjour, dit Angie d’une voix tremblante.
- Etes-vous les proches de Mademoiselle Castillo ?
- O-Oui, dit German, pâle comme la mort.
- J’ai croisé Mademoiselle Castillo, tout à l’heure. Elle n’était étrangement pas au spectacle. Je l’ai donc espionné, et je l’ai vue mettre fin à sa vie. J’ai aussitôt appelé les secours. Quand je me suis approché d’elle, elle m’a transmis un message. A vous de savoir si vous voulez ou non l’entendre. Je crois que vous êtes en froid avec elle.
- Je veux l’entendre, déclara Maxi.
- Moi aussi, ajouta Federico.
- Nous aussi ! s’exclamèrent Olga et Ramaillo d’une seule voix.
Les autres se contentèrent d’acquiescer. Le policier hocha la tête.
- Mademoiselle m’a dit de transmettre à sa famille et ses amis qu’elle les a toujours aimé. Elle a également ajouté à l’attention de Monsieur Vargas qu’elle l’a aimé, qu’elle l’aime et qu’elle l’aimera toujours.
Francesca poussa un hurlement et s’écroula, des sanglots la parcourant. Camila ne tarda pas à avoir la même réaction. Les autres étaient choqués, et les larmes leur venaient aux yeux. Mais ce fut León qui souffrit le plus. Il se précipita vers le brancard qu’on montait.
- VIOLETTAA !! hurla-t-il, des larmes de douleurs coulant sur ses joues.
Les ambulanciers stoppèrent leurs gestes. León dégagea la couverture grise, pour regarder une nouvelle fois le visage de sa bien-aimée.
Puis, il prit sa main. Il sortit une boîte rouge de sa poche. Il l’ouvrit. A l’intérieur se trouvait une magnifique bague. Il la prit et la glissa au doigt de celle qu’il a toujours aimé. Puis, il déposa un baiser sur les lèvres de Violetta en murmurant :
- Moi aussi, je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai toujours.
Ces mots dit, il se laissa tomber à genoux, alors que la couverture fut remontée et le brancard monté. Le mexicain vit les portes se refermer sur la fille qui eut son cœur. Le camion partit.
Tout le monde rejoignit León ; Le policier s’éclaircit la gorge.
- Hum ! Lorsque je suis arrivé près de Mademoiselle Castillo, il y avait cette photo et une enveloppe près d’elle.
Maxi arracha la photo des mains du policier, la regarda puis cria sa douleur. Un par un, tous les amis de Violetta se laisser aller par la douleur de la perte de Violetta.
Angie, elle, arracha l’enveloppe des mains du policier. Elle l’ouvrit et en ressortit une autre enveloppe et un CD.
L’enveloppe fut d’abord ouverte. Angie lut les mots à voix haute, tremblante. Sa voix flancha à la fin, et elle laissa pousser un cri.
*

A mes très chers amis, à ma famille et à mes professeurs,
Je vous salue tous. J’écris ces mots pour vous dire plusieurs choses. Pour commencer, j’espère que Léa va bien payer pour ce qu’elle a fait.
En effet, jalouse, elle a copié la vidéo que j’ai faite au Studio, en se faisant passer pour moi. Vous trouverez le véritable CD ci-joint.
Ensuite, je voulais préciser quelques petits détails : pourquoi dirais-je du mal de vous, alors que je vous aime tous ?
Mes meilleurs souvenirs se trouvent au Studio, jamais je ne pourrais dire du mal de vous. Même à toi Ludmila. Nous sommes devenues sœurs, avant que ta mère et mon père – puis-je encore t’appeler comme ça ? – ne divorcent.
Et enfin, je termine par un petit mot à chacun :
Francesca et Camila : Vous êtes mes meilleures amies depuis toujours. Je ne comprends pas comment vous avez pu croire en cette fausse vidéo, et perdre confiance en moi. Mais enfin, vous resterez à jamais mes meilleures amies.
Aux garçons : Andres, Diego, Broduey et Alex. Vous êtes des amis auxquels je tiens énormément. Je n’arrive pas à croire que vous ayez pu si vite perdre confiance en moi. Et, j’ai eu beau me défendre, vous ne m’avez pas crue. Pourquoi avoir alors pardonné si rapidement à Diego, qui avait joué avec mes sentiments ? Ou encore, à Alex d’avoir menti sur son identité ? A Broduey, le fait qu’il était l’espion de Gregorio malgré lui ?

A Ludmila et à Nata, ainsi qu’à Gery : Vous êtes les trois filles en qui j’ai eu du mal à faire confiance. Enfin, à Nata, assez vite, mais ça a quand même pris du temps. Vous restez mes amies malgré tout. Je vous adore, Gery et Nata. Je t’aime, sœurette.
Aux professeurs : Pablo, Gregorio et Roberto, vous êtes mes professeurs depuis ma première année, et, malgré Gregorio qui était dur avec ses élèves, vous m’avez toujours soutenue. Pourquoi avoir décidé de croire en cette vidéo ?
A mes frères : Maxi, j’ai lu dans ton regard que tu ne croyais pas en cette vidéo. Je t’en suis éternellement reconnaissante, mon grand-frère chéri. Federico, rien que ton regard haineux m’a blessée, plus que les autres. Je pensais que tu avais foi en moi ; je me trompais. Tu restes, malgré tout, mon grand-frère que j’aime.
A papa et à Angie : Vous êtes les personnes qui m’ont vraiment blessée. Je vous ai toujours soutenus, j’ai fait en sorte que vous soyez ensemble, et vous avez très vite décidé de ne pas me croire et de me laisser tomber. Je vous aime, mais je ne vous le pardonnerai jamais.
A León : Je termine avec toi. Que te dire ? J’ai tant de choses à te dire ! Je t’aime… tu es la personne qui m’avait soutenue, qui était toujours là pour moi. J’espérai que notre amour allait triompher, comme c’était le cas avant… Hélas, je me trompais. Tu n’as pas hésité à me laisser tomber pour Léa. C’est toi qui as brisé mon cœur, qui m’a plongée dans le plus profond des trous, qui a provoqué la douleur en moi, qui a fait couler mes larmes. Je ne pensais pas que tu allais croire à cette vidéo aussi facilement. J’aurai compris, si tu aurais pris tes distances. Mais au lieu de ça, tu as préféré aller avec Léa. Malgré ma haine pour toi, mon cœur bat pour toi. Je t’aime.
Léa : En fait, tu es la dernière personne que je n’ai pas citée. Mais je n’ai rien à te dire, mis à part « Vas crever en Enfer ».
Et voilà, j’ai tout dit. Sauf une chose, qui, j’espère, vous empêchera de recommencer une telle erreur avec une autre personne : All you need is love.


                                                                                                                                       Smile.
                                                                                                                                     Violetta

*

« Violetta. Que dire sur elle ? C’est une personne merveilleuse, qui a su nous enchanter, m’enchanter avec sa voix, sa bonne humeur contagieuse. Malgré ses erreurs, elle était là pour moi, et à chaque fois, je me rendais compte à quel point je ne pouvais pas vivre sans elle. Je l’aie perdu à de nombreuse reprise ; elle m’a perdu également. Et pourtant, chaque fois, nous revenions l’un vers l’autre. Elle a mon cœur, j’ai le sien, et à jamais nous sommes liés.
Violetta. Tu es mon rayon de soleil, mon étoile, ma vie. Tous les matins, je me réveille en pensant à toi. Tous les jours, je pense à toi. Tous les soirs, je me couche en pensant à toi. Toutes les nuits, je rêve de toi.
Je ne peux pas décrocher la lune, ni te ramener un nuage. Je peux en revanche t’emmener à l’autre bout du monde. Je suis capable de me prendre une balle pour toi, de me faire torturer pour toi, mourir pour toi.
Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai toujours. »

                                                                   León Vargas, à l’enterrement de Violetta Maria Castillo

__________________________________________
Hellooooooooow !
Et oui, je suis de retour après une trèèèèèès longue absence !
J'ai tellement été occupée, que venir était impossible.
Et, quand j'avais le temps d'aller sur l'ordi, c'était à peine si je pouvais jouer :
Mais enfin, je suis de retour, c'est le principal.
J'espère me connecter tous les week-end !
(Alors, pour ne pas faire mourir de faim ma girlizz, je mettrais mon compte en pause tous les dimanches soirs...)
Je suis donc de retour avec un new OS !
Qu'est-ce que vous en pensez ?
N'hésitez pas à laisser votre avis (sans toute fois être méchant et vulgaire...)
'Aluuuut ! ;) <3


Mes chansons du moment : ici (=> 
https://www.youtube.com/watch?v=5SyEghXR9eA ) et ici (=>https://www.youtube.com/watch?v=4tV6bzk3_6c ) !
(Oui, Smile est la chanson qui m'a inspirée !)
Retrouvez-moi également sur Skyrock (=> http://anaisvilana.skyrock.com/ ), sur Wattpad (@anaisvilana) et sur Twitter (@anaisvilana), ainsi que sur We heart it (toujours @anaisvilana), sur Tumblr ( encore et toujours @anaisvilana, mais aussi @tinietjorgeblanco ainsi que @mestextes-anaisvilana) et Instagram (@anaisvilana) !

Posté le 24.04.2015 à 23:47 - nombre de commentaires : 5  Nombre de vues : 548

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OS 4


OS : Si seulement j’avais su…
Si seulement j’avais su… je ne serais pas venue, je ne serais pas née…

*Flash back*
Alors que je rentrais chez moi, ceux que je pensais mes amis m’attendaient devant la porte. Ils avaient l’air furieux. Interrogatrice, je les questionnais :
- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Ne fais pas l’innocente, dis celui que j’aimais depuis toujours.
- Mais qu’est-ce qu’il y a ? Vous semblez en colère contre moi, mais je en sais pas pourquoi.
- C’est ça, oui, s’exclama ma meilleure amie en levant les yeux au ciel.
- Mais bon sang !! Qu’est-ce que vous av-
Mais je ne pus finir ma phrase. Je venais de recevoir une gifle de celui qui était censé être mon meilleur ami. Les larmes me montèrent aux yeux.
- Chouineuse !! se moquèrent-ils.
Je pleurais. Je levais les yeux vers les personnes, qui, hier, étaient mes amis.
- Mais bon sang, qu’avez-vous ?? Je ne vous ai rien fait !
- Ce n’est pas ce qu’on nous a dit, dit un autre « ami ».
- Tu sais, quand tu pleurais, hier ? Que des gens disaient de mauvaises choses sur toi ? Sur le moment, on t’avait défendu, dis celle qui était censée être ma conseillère sentimentale.
- Mais, cette personne, qui t’as avoué tout ça, est venue nous voir, ce matin.
- Elle nous a dit des choses sur toi.
- En fait, t’es pas celle qu’on croyait.
- T’as une réputation de m*rde partout dans la ville.
- Il parait que tu parles dans notre dos, à nous tous. Nous, tes amis.
Je pleurais de plus belle. Entendre ces paroles de la bouche de mes amis me blessait plus que tout.
- J-je… non… hoquetais-je.
- Fais pas l’innocente, repris celui que j’aimais. T’es la pire personne que je connaisse.
Ces mots me firent mal. Très mal. Mon cœur saignait.
- J-je ne sais pas ce que j’ai fais…
- Mais oui, c’est ça, dit celle qui était censée être ma moitié.
Je pleurais de plus en plus, au fur et à mesure que mes anciens amis parlaient. Je souffrais.
- S’il vous plait… dîtes-moi ce que j’ai fais…
- Tu le sais déjà, s’exclama sèchement une amie.
- N-non… hoquetais-je.
J’eu tout d’un coup envie qui me ferait souffrir autrement.
- S’il vous plaît… peut-être puis-je réparer les erreurs dont vous m’en voulez ?
- Jamais ! cracha mon ex petit-ami, avec qui j’étais restée amie. Tu ne pourras jamais réparer ces erreurs !!
- Tu parlais dans notre dos, à nous, répéta mon amie. T’as vraiment une réputation de m*rde.
Je n’en pouvais plus. Je les bousculais et entrais chez moi en pleurant.
*Flash back*

Je me mutile. Je n’en peu plus. Ca fait une semaine que ça dure. Je n’en peu plus. J’en ai assez. J’ai juste envie de mourir. Là, sur le champ. Pourtant, avant de passer à l’acte, il me faut que je fasse quelque chose.


Des personnes entrèrent dans une maison qu’ils connaissaient parfaitement bien. La mère de leur ancienne amie les avait appelés en pleurant. Quand ils arrivèrent, ils avaient bien envie de continuer à harceler leur ancienne amie, pour qu’elle paye ce qu’elle ne sait sois disant pas. Pourtant, polis, ils écoutèrent la mère.
- J-je vous déteste !! hurla-t-elle en pleurant.
Les anciens amis de sa fille regardèrent la mère étonnée.
- Mais que… commença l’ancien bien-aimé.
- M-montez… dis la mère d’une voix tremblante.
Les adolescents obéir. Ils montèrent dans la chambre de leur ancienne. Ils ouvrirent la porte et ce qu’ils virent le figèrent. Elle était morte, tenant dans sa main une lettre ensanglantée. Lui, celui qu’elle a aimé, s’avança et prit la lettre. Il la lu à voix haute.

Mes chers… anciens amis,
Je ne sais pas ce que je vous ai fais, mais en tout cas, je tiens à m’excuser. Lorsque vous avez dit que je parlais dans votre dos, vous n’avez pas précisé quoi, alors mon seul souvenir est ceci : je parlais de vous, en disant que j’avais des amis extraordinaire. J’avais dis ceci à une personne qui ne méritait pas ma confiance, et qui m’as trahie, qui m’as fait souffrir pas deux fois cette semaine. Je n’en peux plus. Je pensais vous faire confiance, je me suis trompée. Le harcèlement que vous avez fait preuve à mon égard m’as menée à un point dont j’ai pensé qu’elle serait ma seule issue : la mort.
Si vous lisez cette lettre, c’est que je le suis à présent. A présent, je ne souffre plus. Je suis loin de toutes les douleurs que j’ai eu à supporter. Je suis dans un nouveau monde. Un monde où le bonheur existe et est permanent. Le paradis.
Mon sang coule à flot, au moment où je vous écris. D’où les trace de sang sur le papier.
Maintenant, mes forces me quittent. Ainsi finit ma lettre : je suis désolée pour tout ce que j’ai pu faire, et que cette personne dont je tairais le nom et que vous connaissez puisse aller aux Enfers.
A jamais.


Ils pleuraient à chaude larmes.
- On est horrible… pleura l’ancienne meilleure amie.
- On ne mérite plus de vivre, ajouta une autre personne.
Et, sur ces mots, devant le regard de leurs parents et de ceux de la défunte, ils prirent à leur tour, chacun à son tour, le cutter ensanglanté qui a permis à la défunte de quitter ce monde injuste. Ils s’écroulèrent chacun à leur tour, devant les larmes de colère et de tristesse des adultes. Pourtant, ils ont raté une phrase qui aurait pu changer la donne. Une phrase, soigneusement écrite, au bas de la feuille, après la dernière formule de politesse :
Si seulement j’avais su que ça se terminerai ainsi, j’aurai eu plaisir de ne pas naître.


_________________________
Hey !
J'avoue que je ne poste plus depuis longtemps.
Mais bon, c'est que j'ai plusieurs idées de fictions, et j'ai des fictions à finir.
Bref. Parlons de ce OS.
J'ai été inspirée par une amie qui m'a dit que quelqu'un lui a dit que j'avais sois disant une mauvaise réputation dans les collèges, et que je parlais dans son dos (à mon amie), et que j'étais une chouineuse.
Bref. En clair, je me suis inspirée de ce que j'ai dis au-dessus pour écrire ce OS.
A vous de choisir le personnage que vous voulez.
Peu importe.
Ca peut être Francesca, Camila, Ludmila, n'importe qui. Ca peut aussi être des persos de manga.
Bref, n'importe qui.
Salut ! ;) ^^'

Posté le 12.10.2014 à 00:24 - nombre de commentaires : 6  Nombre de vues : 554

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Roméo et Juliette


Voici mon blog fictif de Roméo ! => http://www.romeomontague.over-blog.com
Je l'ai fait en classe, c'est ce que ma prof de français nous a demandé !
Elle avait fait celui de Juliette, l'année dernière ! ;) :3
Dans ce blog, donc, je me mets à la place de Roméo Montague, dans Roméo et Juliette !
J'espère donc que vous allez aimer ce blog ! ;)
Bisous ! :*
Saluut !

(P.S. : Allez voir ce blog (=> http://www.lejournalderomeo2014.over-blog.com ) ! C'est le blog de deux amies ! J'espère avoir le lien des autres blogs des autres élèves de ma classe ! ;) :3)

Posté le 08.10.2014 à 15:11 - nombre de commentaires : 4  Nombre de vues : 540

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C'est MOI qui vais mourir...


C'est trop triiiiiste ! :'( :'( :'( :'(
(vidéo 1)

C'est MOI qui vais mourir, maintenant !! T.T
(vidéo 2)





Posté le 28.09.2014 à 17:09 - nombre de commentaires : 5  Nombre de vues : 596

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Quelques gifs


Voici trois gifs que j'ai créé sur le site www.gifsoup.com
Ces gifs sont A MOI !!
Merci de ne pas faire les mêmes que moi ! ^^


Quelques gifs



Quelques gifs - photo 2



Quelques gifs - photo 3


Posté le 26.09.2014 à 21:41 - nombre de commentaires : 4  Nombre de vues : 515

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Nouvelle idée


Coucou !
Ça fait longtemps que je n'ai pas posté !
J'ai une fiction en cours, mais je préfère la finir.
Une idée me trottait dans la tête depuis déjà deux mois.
Je vais faire une suite à ma 1e fiction ! (Je t'aime)
Qui est contente ? (Question totalement débile, pas dans le sens "C'est bête de poser la question" mais plutôt dans le sens "Pourquoi tu pose cette question ? C'est totalement débile') ^^
Bref.
Je ne sais pas encore si c'est un Two Shoot, Three shoot ou une mini-fic, tout ce que je sais, c'est que ça me trotte dans la tête et que je veux faire une suite !
Je suis en train de l'écrire...
Bisous ! ^^

Posté le 21.09.2014 à 18:06 - nombre de commentaires : 3  Nombre de vues : 466

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...


ANDRES !!! TOI AUSSI, TU VAS MOURIR !!!
*pète encore un câble*



Posté le 12.09.2014 à 22:13 - nombre de commentaires : 1  Nombre de vues : 450

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