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Le temps - Chapitre 1 : Effroi en vue
Chapitre 1
Je m'appelle Charlotte. Charlotte Sanzès. Et cet après-midi, je me suis fait virer du cours de philo. Je suis donc allée dans la cour pour me diriger vers un surveillant. Mais personne, j'ai donc quitté mon lycée tranquillement. J'étais de bonne humeur car j'avais achevé ma journée. J'ai alors attendu le bus 124 pour me diriger chez moi. Et bizarrement, aucun bus en vue. Le panneau d'information n'en indiquait aucun non plus. J'ai attendu pendant 15 minutes, toujours rien. J'ai donc continué mon chemin, plus énervée que jamais, car j'habite à 1h00 du lycée.
Dans une impasse, non loin de la boucherie Prévaux, j'ai entendu un cri. Je me suis dit que ce n'était rien. Mais quelques secondes plus tard, j'ai re entendu un autre bruit, plus fort. Puis plus rien. J'avais quelque chose à faire : Comme tous les jours, je passe chez la couturière pour déposer des vêtements, comme on est une famille nombreuse, de 8 enfants, ma mère n'a pas le temps de coudre. Mme Nitune est très gentille, mais elle habite dans l'impasse où est située sa boutique. Et cette impasse n'est pas très bien fréquentée. Alors, je me suis donc rendue dans son magasin. Et en rentrant, madame Nitune m'a interrogée :
- Tu as vu ma fille Eléanor ?
- N-nnon madame.
- D'accord, ça fait rien, donc pour les 3 pantalons, ils seront prêts Mardi.
- D'accord ! Merci beaucoup. Vous cherchez votre fille, c'est ça ? Vous n'avez pas de nouvelle ?
- Oui, elle est sortie dehors, mais je ne la vois plus, je lui avais dit de rester à ma vue, mais elle ne m'a pas écoutée. Elle est avec son petit ami, Thomas, et je ne l'aime pas, il ne m'inspire pas grande confiance.
- Hum, dès que je la vois, je vous contacte. Vous avez un numéro ?
- Oui, bien sûr.
Et elle me donna son numéro.
Bizarrement, en sortant du magasin, j'ai entendu la même voix crier "Thomas" ! Par curiosité, je me suis approchée, et j'ai vu une jeune fille blonde, mince aux yeux marron, qui essayait de fuir des bras d'un jeune garçon, grand, brun, assez costaud aux yeux marron.
J'ai couru jusqu'à eux et j'ai dis "Tu es bien Eléanor?"
Elle m'a répondu : "Oui, par pitié appelle la police ! Aide-moi!"
Soudain, une camionnette est arrivée et a embarqué Eléanor. Le jeune garçon a parlé au conducteur. J'ai entendu les mots "Dépêche-toi ; Vite ; L'autre ; Place Saint-Georges."
Soudain, je vois le visage du jeune conducteur qui se déplace. Sa main ouvre la portière du véhicule. Il court après moi. Je n'ai pas le temps de réaliser qu'il m'attache les mains avec une ficelle et m'embarque dans sa camionnette.
Eléanor, prise de panique autant que moi, me murmure : "J'ai un couteau-suisse dans ma poche, si on se tourne bien, et qu'on arrive à faire des bonne manipulations, on peut se détacher. Dans mon sac, j'ai une bombe lacrymogène. On s'en servira une fois détachées en arrivant".
J'étais dans un cauchemar. Ma vie avait basculé en 2 secondes, juste en allant ramener des vêtements chez la coututière. Je ne savais pas si j'allais revoir ma famille.
15 minutes après, nous arrivions devant une maison sombre et isolée des autres. J'avais peur.
Dans une impasse, non loin de la boucherie Prévaux, j'ai entendu un cri. Je me suis dit que ce n'était rien. Mais quelques secondes plus tard, j'ai re entendu un autre bruit, plus fort. Puis plus rien. J'avais quelque chose à faire : Comme tous les jours, je passe chez la couturière pour déposer des vêtements, comme on est une famille nombreuse, de 8 enfants, ma mère n'a pas le temps de coudre. Mme Nitune est très gentille, mais elle habite dans l'impasse où est située sa boutique. Et cette impasse n'est pas très bien fréquentée. Alors, je me suis donc rendue dans son magasin. Et en rentrant, madame Nitune m'a interrogée :
- Tu as vu ma fille Eléanor ?
- N-nnon madame.
- D'accord, ça fait rien, donc pour les 3 pantalons, ils seront prêts Mardi.
- D'accord ! Merci beaucoup. Vous cherchez votre fille, c'est ça ? Vous n'avez pas de nouvelle ?
- Oui, elle est sortie dehors, mais je ne la vois plus, je lui avais dit de rester à ma vue, mais elle ne m'a pas écoutée. Elle est avec son petit ami, Thomas, et je ne l'aime pas, il ne m'inspire pas grande confiance.
- Hum, dès que je la vois, je vous contacte. Vous avez un numéro ?
- Oui, bien sûr.
Et elle me donna son numéro.
Bizarrement, en sortant du magasin, j'ai entendu la même voix crier "Thomas" ! Par curiosité, je me suis approchée, et j'ai vu une jeune fille blonde, mince aux yeux marron, qui essayait de fuir des bras d'un jeune garçon, grand, brun, assez costaud aux yeux marron.
J'ai couru jusqu'à eux et j'ai dis "Tu es bien Eléanor?"
Elle m'a répondu : "Oui, par pitié appelle la police ! Aide-moi!"
Soudain, une camionnette est arrivée et a embarqué Eléanor. Le jeune garçon a parlé au conducteur. J'ai entendu les mots "Dépêche-toi ; Vite ; L'autre ; Place Saint-Georges."
Soudain, je vois le visage du jeune conducteur qui se déplace. Sa main ouvre la portière du véhicule. Il court après moi. Je n'ai pas le temps de réaliser qu'il m'attache les mains avec une ficelle et m'embarque dans sa camionnette.
Eléanor, prise de panique autant que moi, me murmure : "J'ai un couteau-suisse dans ma poche, si on se tourne bien, et qu'on arrive à faire des bonne manipulations, on peut se détacher. Dans mon sac, j'ai une bombe lacrymogène. On s'en servira une fois détachées en arrivant".
J'étais dans un cauchemar. Ma vie avait basculé en 2 secondes, juste en allant ramener des vêtements chez la coututière. Je ne savais pas si j'allais revoir ma famille.
15 minutes après, nous arrivions devant une maison sombre et isolée des autres. J'avais peur.
à suivre...
Posté le 04.11.2012 à 16:01 -
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