Tout est mystère dans l'amour, Ses flèches, son carquois, son flambeau, son enfance: Ce n'est pas l'ouvrage d'un jour Que d'épuiser cette science. Je ne prétends donc point tout expliquer ici: Mon but est seulement de dire, à ma manière, Comment l'aveugle que voici (C'est un dieu), comment, dis-je, il perdit la lumière, Quelle suite eut ce mal, qui peut-être est un bien; J'en fais juge un amant, et ne décide rien.
La Folie et l'Amour jouaient un jour ensemble: Celui-ci n'était pas encor privé des yeux. Une dispute vint: l'Amour veut qu'on assemble Là-dessus le conseil des dieux; L'autre n'eut pas la patience; Elle lui donne un coup si furieux, Qu'il en perd la clarté des cieux. Vénus en demande vengeance. Femme et mère, il suffit pour juger de ses cris: Les dieux en furent étourdis, Et Jupiter, et Némésis, Et les juges d'enfer, enfin toute la bande. Elle représenta l'énormité du cas: " Son fils, sans un bâton, ne pouvait faire un pas: Nulle peine n'était pour ce crime assez grande: Le dommage devait être aussi réparé." Quand on eut bien considéré L'intérêt du public, celui de la partie, Le résultat enfin de la suprême cour Fut de condamner la Folie A servir de guide à l'Amour.
nous as quitté Et dans quelques mois ça fera une année Mais pourquoi ai-je tant de mal à accepter Que là-haut, tu sois monté?
Tu es parti sans dire un mot Vers un monde beaucoup plus beau Tu t'es envolé comme un oiseau En nous laissant un lourd fardeau.
Tu m'as tant fait pleurer Que je ne peux te pardonner Tout le mal que tu m'as fait subir Je voudrais tant m'enfuir.
La douleur est insupportable Mes larmes ne sont plus stables Je ne fais que pleurer Je ne peux plus me controler.
Mon coeur a mal J'aimerais tant que tout redevienne normal Que tu reviennes sur cette terre Et qu'avec toi, tu amènes mon grand-père.
Tu étais mon ange Et parmi tout ces moments étranges Tu étais toujours là Tout près de moi.
Mais pourquoi ne suis-je pas capable de t'oublier C'est peut-être qu'après tous ces moments passés à pleurer Je voudrais tant te voir revenir Car je suis tannée de souffrir.
Cela fait maintenant quelques mois que tu es mort Et j'en pleure encore Même hier, quelques larmes ont coulé Car à toi, je n'arrêtais pas de penser.
Au début de l'année Ce fut les moments les plus difficiles à traversés Peu à peu la douleur c'est en aller Mais dans mon coeur, elle y restera gravée.
Je ne t'ai pas connu assez Mais pour toi beaucoup de larmes ont été versées Tu étais mon oncle que j'aimais tant Et tu le restera jusqu'à la fin des temps!
am eva pk tu nous as quitter comeca j espere que le paradi sera grand ouvert pour toi
Voici presque un an, petit ange... Tu étais si petit quand tu es parti. Tu es monté au ciel, avec encore tes langes, Tu n'as pas eu le temps de connaître la vie Que déjà, une inconnue te l'a prise. Une personne qui n'aurait pas dû être là, Ce jour là, à ce moment là. Tel était le cruel destin de ta vie. Depuis tu vis au Paradis, où tous les petits Enfants innocents sont accueillis.... Dans cet immense jardin où ce n'est que gaîté, Garni de fleurs de toutes les couleurs, De jouets, de peluches pleines de douceur. Tu peux oublier cette mauvaise fée Qui n'a pas eu ce qu'elle méritait. Ici-bàs, ta famille toujours dans la peine, Ne peut oublier ce petit garçon plein d'entrain... Ton souvenir restera dans leurs coeurs à jamais.
Ce poème sûrement ne sert à rien, Quand en nous, c'était pour la vie. Mes yeux à mi-hauteur, et tu es partie, La solitude quand je déplie la main.
Pourquoi toujours et ne rien oublier ? Ta photo me console sur le chevet. Il me restera une façon d'aimer, Vois-tu caché notre seul secret ?
Qui serais-tu, quelle femme vêtue ? Je suis si belle dans ce blanc têtu. Un reste de toi, et tu restes derrière, Dans un an, combien d'années lumière ?
Plutôt solitaire dans un triste essai, L'écriture est donc ce qui est vrai. Mais ces ratures agressent les adieux, Dans une chanson, un piano peureux.
La mer toujours répète son couplet, Et que pleure mon père assis sur les galets. La mer pose toujours ses liens, Un rouleau salé, lui dit « viens ».
Et ces chrysanthèmes qui ne fanent pas, Immarcescibles me dirait les grands. Tous les bouquets de roses en camélias, Pour celle que je n'appelle plus maman