'aime bien cette liberté, sentir mes cheveux dans le vent et pouvoir penser à toi sans que personne ne vienne me rappeler la réalité. Sans que personne ne me parle. Je vois ton visage, mais un coup de vent et tu n'es plus là. La réalité me rattrape, tu n'es qu'une image, tu n'es qu'un visage dans mon esprit. Tes lèvres ne seront qu'à tout jamais un rêve. Mais je m'en fou car malgré tout, je t'aime.