Le paradoxe de l’Afrique


Je me croyais plongé dans un sommeil profond ;
J’étais dans un pays où luit, puis brûle l’amour,
Où sourires et pleurs effleurent le plafond.
C’était la joie, c’était la guerre et de l’humour


Posté le 24.04.2010 à 11:05 - nombre de commentaires : 0  Nombre de vues : 352
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