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Côté professionnel, tout va bien pour Justin Bieber. C'est côté coeur que ça pêche. Et oui, Bieber est un ado comme les autres, et en ce moment, il vit son premier chagrin d'amour.
Selena Gomez lui manque, c'est le moins que l'on puisse dire. Car même si Justin remplit des stades entiers, son petit coeur est vide depuis que Selena l'a largué le lendemain du réveillon. Et le jeune homme ne parvient visiblement pas à se consoler.
Interviewé par le site Billboard, Justin Bieber a eu du mal à cacher sa peine: «Je ne suis pas le plus heureux du monde en ce moment. J'essaie de surmonter ce que je dois surmonter. Comme je le disais, j'ai des amis très proches qui me réconfortent et qui m'aident à aller de l'avant».
Plusieurs chansons de son album Believe Acoustic font référence à sa relation avec la jeune actrice : «Parce qu'au final à la fin de la journée, il n'y avait rien de mieux que nous, vous comprenez? C'est aussi simple que ça. Les gens peuvent s'identifier à ça».
Justin Bieber a beaucoup de mal à ne plus penser à la belle Selena. Il faut dire que les rumeurs les plus folles lui parviennent aux oreilles: «Les gens disent que j'appelle Selena à longueur de journée et qu'elle refuse de me répondre ou que je la poursuis en bas de chez elle. Tout cela est complètement faux».
Après l'histoire du joint, une photo le montre en train de peloter les seins d'une de ses fans. S'agit-il d'un montage ou Justin ne contrôle-t-il plus ses pulsions depuis sa rupture avec Selena? Une chose est sûre, le chanteur traverse une période difficile, et ses fans seront certainement très heureuses de lui remonter le moral...
Une star qui débute une interview en vous demandant où l’on peut faire du shopping à Paris « en évitant les boutiques de luxe » ne peut être que sympathique. Quand Alicia Keys vous reçoit dans une suite du Plaza Athénée, c’est comme dans son salon de New York. De sa voix rauque, qui semble avoir vécu bien plus que ses vingt-sept ans, la chanteuse, en promo pour son nouvel album As I am (Jive), se raconte sans chichis. Comme elle se donne sur scène.
Gala : On se demande toujours ce que fait une artiste entre deux albums. A quoi a ressemblé votre existence durant cette année de pause ?
Alicia Keys : Disons que j’ai pris un cours accéléré de la vie. Entre 2004 et 2006, je n’avais pas arrêté. J’ai donné des concerts en Europe, en Asie du Sud-Est, avant de tourner mon premier film, Smokin' Aces. Tout est allé très vite, trop vite… Quand je suis rentrée à la maison, la réalité m’a rattrappée brutalement. Un membre de ma famille est tombé très malade. J’ai mieux compris qui je voulais être et surtout qui je ne voulais pas être.
Gala : Qui Alicia Keys ne veut-elle pas être ?
A. K. : Celle que j’étais en train de devenir : une femme qui joue un rôle, qui ne dit jamais ce qu’elle pense, qui court sans arrêt. C’était une période où je dormais mal. J’étais irritable.
Gala : Plus sereine, donc. Et plus sexy… La célébrité vous a-t-elle aidé dans cette métamorphose ?
A. K. : Je ne me suis jamais considérée comme célèbre. Je n’y arrive pas. Et j’ai gardé pleins de manies de petite fille. Par exemple, j’adore la bouillie à base d’avoine, et je fais toujours craquer les os de mon coup, ce qui exaspère ma grand-mère ! (Rires. )
Gala : Vous écrivez, vous composez, vous produisez. Ce besoin de tout contrôler se ressent-il dans votre vie personnelle ?
A. K. : J’aime, oui... Pas dominer, juste suggérer... souvent. A chaque fois, c’est avec les meilleures intentions. J’ai peu d’amis. Trois, quatre, pas plus. J’essaie d’être là pour eux, quand ils vont mal. Mais c’est vrai que j’en fait peut-être un peu trop. Quand j’aime, c’est sans mesure.
Gala : A l’ écoute de votre nouvel album, on vous sent pourtant très prudente en amour…
A. K. : En fait, je suis avec quelque’un depuis un petit moment. Mon disque concerne davantage ma relation avec moi-même. C’est pour ça que je l’ai intitulé As I am.
Gala : Vous arrive-t-il de penser à ce qu’aurait été votre vie si vous n’aviez pas abandonné vos études à Columbia ?
A. K : Non, parce que j’envisage très sérieusement de les reprendre. Je me souviens avoir traversé une période difficile avant la sortie de mon premier opus. Un matin, j’ai reçu un prospectus pour un cours d’écriture et je me suis dit : allez, j’y vais ! J’y ai découvert des auteurs. Cela a fait un bien fou à ma créativité. Quand j’aurai trente ans, je retournerai à l’université.
Gala : Que comptez-vous étudier ?
A. K. : La psychologie m’a toujours beaucoup intéressée. Mais, je me suis découvert une passion pour l’Histoire, l’archéologie. Le choix va être difficile !
Gala : Votre maman vous suit toujours en tournée ?
A. K. : Non, je lui ai dit que ça suffisait… Un jour, alors que nous étions dans le bus qui nous conduisait de ville en ville, je l’ai vue sortir péniblement de son petit matelas. Ça m’a brisé le cœur. Je lui ai dit :
« Maman, je suis une fille injuste. Il faut que tu rentres à la maison maintenant ! »
Gala : Vous évoquiez votre envie d’apprendre. Quel enseignement avez-vous tiré de ces dernières années ?
A. K : Elles m’ont énormément appris. Les moments difficiles dont j’ai parlé tout à l’heure m’ont rendue plus forte, plus solide, plus attentive aux autres. Et un peu meilleure, j’espère.
Propos recueillis par Géraldine Catalano
Merci
Vous êtes devenue la chanteuse la plus sollicitée aux Etats-Unis. Comment vivez-vous ce succès phénoménal?
Beyoncé - « Je rêve de faire ce métier depuis que je suis née. A trois ans, je montais déjà sur la table de ma salle à manger pour faire des spectacles. Je chantais, je dansais… devant toute ma famille et, ensuite, je leur réclamais de l’argent ! (Ndr : elle éclate de rire) Ce succès est donc tout simplement un rêve d’enfant devenu réalité. Le fait de pouvoir en plus faire du cinéma, c’est la cerise sur le gâteau ! »
Après avoir conquis le monde de la chanson, vous partez donc aujourd’hui à la conquête du cinéma. Avez-vous toujours été aussi ambitieuse ?
Beyoncé - « Oui, mon ambition remonte à ma naissance ! A l’âge de sept ans, je commençais déjà à participer à des radios crochets et je voulais à tout prix gagner. Mon père et ma mère devaient en permanence m’emmener à des concours de chants car je voulais toujours avoir un micro à la main. Avec ma sœur (Solange, 19 ans), nous nous déguisions parfois comme des stars de la pop et nous demandions aux gens de payer cinq dollars s’ils voulaient nous voir danser et chanter. Si je suis ambitieuse, c’est tout simplement parce que j’adore le monde du spectacle mais aussi grâce à ma mère. »
Pourquoi grâce à votre mère ?
Beyoncé - « Maman avait un salon de coiffure à Houston et j’ai grandi dans ce salon autour de femmes fortes et indépendantes qui avaient toujours leur mot à dire. La plupart d’entre elles étaient d’ailleurs des mères célibataires. Grâce à ces femmes, j’ai donc appris rapidement à ne pas être soumise et surtout à évoluer dans ce terrible monde sexiste ! Vous savez, ce n’est vraiment pas évident d’être une femme dans le show-business. Il faut toujours se battre et travailler plus que les hommes pour se faire une place et pour être simplement respectée en tant qu’artiste. J’ai donc beaucoup de chance de connaître un tel succès dans ce métier. »
Gala : Paradoxalement, cet album, vous l’avez fait avec Maxim Nucci, le père de votre enfant ?
Jenifer : Effectivement. Mais parce que Maxim est un musicien que j’admire énormément, dont je suis fan. Je voulais travailler avec lui avant même qu’il soit mon compagnon. C’est quelqu’un de très talentueux pour qui j’ai énormément de respect. C’est vraiment et définitivement une belle personne. Et j’ai adoré être sa muse pendant un an et demi…
Gala : Cet album est aussi un peu votre enfant - un très bel enfant d’ailleurs - est-ce qu’on peut comparer la crise que vous traversez avec celle que traverse souvent les couples après une naissance justement ?
Gala : On vous dit notamment complice artistiquement et sentimentalement de Pascal Obispo, au point d’avoir emménagé chez lui. Qu’en est-il ?
Jenifer : Pas du tout ! Mais je n’ai pas envie de me justifier là-dessus. J’ai juste envie de dire, laissez moi vivre ma vie ! Laissez moi tranquille !
Montre d’homme au poignet gauche, anneau finement cicelé de brillants à la main droite, Jenifer se situe dans cet entre-deux-là. Précisément. D’un côté, volontaire, décidée, presque virile, mais aussi fragile, tendre, avec parfois des impatiences de biche effarouchée. Comme au carrefour de quelque chose… (1/2)
Gala : On parle beaucoup de vous actuellement dans la presse…
Jenifer : Une presse dans laquelle je n’ai pas du tout envie d’être et qui me fait beaucoup de mal. ( Un silence) Je suis une jeune femme de vingt-cinq ans, j’ai un petit garçon de quatre ans et il se passe des choses dans ma vie qui ne regardent que moi. Et puis on raconte beaucoup de mensonges…