Toi aussi, ouvre gratuitement ton blog de filles !


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Le blog de Ardias


Life


« Life isn't about waiting for the storm to pass,
It's about learning to dance in the rain! »

Author Unknown


Life


Posté le 26.12.2013 à 15:29 - nombre de commentaires : 17  Nombre de vues : 1296

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Un toit pour nous deux.


Un toit émoi, pour nous et sans eux.
Un moi de toi, sang noué pour deux.

Palais avec reine et avec roi.
Chalet sans peine et sans loi.

Une prison bondage.
Un cottage à chaussons.

Des oursons comme otages.
Des outrages au glaçon.

Un asile de cœurs piqués.
Avec du trèfle aux carreaux.

Un domicile à bébés.
Mec ou elfe ? Surprise cadeau !

Bis neuf. Oui, c'est si merveilleux.
Rien qu'à trois. Des demains radieux.


Un deux pour nous trois.
Et jamais deux sans toi. 


Un toit pour nous deux.


Posté le 09.12.2013 à 06:28 - nombre de commentaires : 13  Nombre de vues : 1101

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Neige-moi, comme si j’avais su t’aimer !


Tes yeux de neige noire, la jongle de tes cheveux, tels des fils d’or de feu.
Les arpèges épars en angles harmonieux de ton profil radieux.
Une tête à bonnet, le sourire comme épée, air clown pour bouclier.

Tes yeux de neige bleue, larmes gelées sur ta joue, tu ris tu fais la moue.
Le florilège des jeux espiègles et amoureux de tes iris bulbeux.
Je t’avais espéré, je suis las abimé, de n’avoir su t’aider.

Tes yeux de neige rose, tes paupières s’abaissent et tes cils me caressent.
Un manège en alcôve au pays des déesses, adorables diablesses.
Au bout de ses ongles, à travers les ondes, dit au revoir à ce monde.

N’ai-je été effleuré qu’elle tombe déjà ?
Neige été et fleuret, quelle tombe, déjà !

Point grave si je meure moi, mais ô que je t’en prie.
Ne pleure pas pour ça, ne coule pas pour lui.
Toujours prend soin de toi, p’tite âme sœur de ma vie.


Neige-moi, comme si j’avais su t’aimer !


Posté le 19.04.2013 à 02:26 - nombre de commentaires : 20  Nombre de vues : 1345

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Ma dame oiselle, ma Valentine voulez-vous être ?


Si toute une vie pouvait résider en deux jours.
Je voudrais habiter ceux de notre rencontre.
Ma sagesse n’a pu résister à tes contours.
De cette envie serait pure folie d’aller contre.

D’un lien que j’ai conservé à travers le temps.
Au destin traversé par-delà les murailles.
Tu m’as offert l’univers pour nos retrouvailles.
Une histoire fablière, le retour du printemps.

Voici quelques fleurs qui parleront de bonheur – de dévotion.
En l’absence d’eau t’offrirais mes larmes en douceur – en émotion.
Leur couleur mon sang, et le vase sera mon cœur – mis en action.

Tel si toutes mes expériences servaient ton essence – ta réception.
Mes constances, mes erreurs, mes puissances, mes candeurs – mes séductions.
Que tout mon être conclu d’une primeur évidence – d’une seule question.


Ma dame oiselle, ma Valentine voulez-vous être ?


Posté le 14.02.2013 à 19:43 - nombre de commentaires : 10  Nombre de vues : 1309

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Je voudrais t'ouvrir les yeux sur le monde


« Ferme les yeux,
et tu verras. »
Joseph Joubert


 


Je voudrais t'ouvrir les yeux sur le monde


Posté le 15.01.2013 à 19:52 - nombre de commentaires : 16  Nombre de vues : 1214

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Distance


Ce monstre impalpable qui ronge, tue, puis dévore,
Transforme une jolie fable en un secret de mort.
300 maîtres étalons sur les rives du Styx,
1000 iniques et folles raisons d’éteindre le phœnix.

Elle tisse des doutes. Tuméfie les sueurs infimes.
Sur cette route la sagesse devient pusillanime.
A vous rendre veule les aveux les plus charmants.
Et même d’être aveugle des feux les plus voyants.

Retrouvailles érigées en craintes d’adieux.
L’amitié, la parole sacrée, devient rancœur.
Communes valeurs, des calomnies d’aguicheur.
Epousailles ! Idée figée sous astreinte des cieux.

Ainsi le non-osé devient un jamais dit.
Les toujours et les promesses se perdent dans l’oubli.
Comme ma rose princesse, et ses larmes, dans la pluie.
Néant mais, j’ t’aimais. Plus qu’infini, définie.

Espoirs de réconciliations sur l’oreiller,
Ne seront que pulsions et songes mal réveillés.
La tendresse inavouée se mue en méfiance,
Le dialogue condamné se meurt en silence.

S’enfuir loin pour te demeurer au plus proche.
Tous deux séparés, penser à toi sous d’autres toits.
Se repentir, prier la lune que tu décroches.
Te savoir consolée, par un autre que moi.

A toi, qui loin là-bas, incarne tout pour moi.
Et moi, droit, loyale victime de mes émois.
De toi, qui pourra dire que tu ne savais pas.
Et moi, te jurer, que j’ai survécu pour toi.

Qui pleure épris ? T’écris d’ici ?
Ma sœur amie ? Mon aimée mie ?
Ni dans ton cœur. Ni dans mon lit !
La fée Louise, elle est partie.
L’aphélie est ma compagnie.
Mon ennemie. Ma seule amie.
Oh exquise flibuste de mon âme si tu es là,
Libère âme moi. Dis-moi juste que tu me crois.


Distance


Posté le 15.01.2013 à 19:03 - nombre de commentaires : 8  Nombre de vues : 1156

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Qui ?


I don't want somebody I can live with,
I want somebody I can't live without !


Qui ?


Posté le 14.01.2013 à 21:27 - nombre de commentaires : 7  Nombre de vues : 1147

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RIEN


Je regrette plus que tout de ne t’avoir rien dit.
D’autant que mine de rien, j’avais tout projeté.

Je t’ai manqué d’un rien. Ou de trois fois rien.
D’un rien de temps. D’un rien d’audace. D’un rien de chance.

On se dispute, se fâche, se perd pour un rien.
Et on se sent incapables de faire comme si de rien n’était.

Aujourd’hui c’est comme n’avoir rien en commun.
Mais tous ces petits riens que nous avions ensemble me manquent.

Ils étaient de ceux qui remplissent la vie.
De ceux qui écartent le postulat qui veut que rien ici-bas n’a d’importance.

Hier, il n’y avait rien entre toi et moi, juste l’amour absolu.
Rien que nous deux. Et l’infini.

Il est des fois dans la vie où il vaut mieux ne rien faire.
Même dans les moments où l’on croit n’avoir plus rien à perdre.

Mais on se dit qu’à cœur vaillant rien d’impossible,
Que rien faire est à la portée de celui pour qui rien n’importe.

Surtout quand un autre dresse le portrait d’une fille de rien.
Alors qu’avec elle rien n’est plus pareil.

Rien ne sert de courir il faut partir à point.
Mais il n’y a rien à y faire tu demeures mon tout.

Aujourd’hui j’ai le sentiment d’être un rien du tout.
Empli de ce vide sidéral de n’être plus rien pour toi.

L’infini est devenu un fini. Et je ne désespère de rien mais sans compter sur rien.
Car dans mon cœur, depuis que je t’ai dis « Je T’aime », qu’est ce qui a changé ?



RIEN


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Posté le 14.01.2013 à 20:49 - nombre de commentaires : 4  Nombre de vues : 1083

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